Walter Baker était un homme d’affaire réputé à Londres. A la tête de multiples sites de sidérurgie, l’anglais avait un porte-monnaie bien rempli et des rêves pleins la tête. Le premier ? Rejoindre les Etats-Unis. Et c’est exactement ce qu’il fit avec son épouse Edna et leurs enfants en 1868. La guerre de Sécession venait de se terminer, l’économie était en pleine boom dans les états du sud, c’était le moment de sauter le pas, leurs valises de billet sous le bras.

Pendant ce temps, en Louisiane, après l’abolition de l’esclavage, la vie se faisait plus douce. En particulier pour les Wilson. Roy et Dorothy qui avaient été soumis aux Smith durant toutes leurs vies se virent hériter d’un morceau de terre en échange de leur labeur alors que le monde changeait de regard sur les Hommes. Une colline au Sud de la Nouvelle-Orléans, coincé entre le bayou du part et le golfe du Mexique d’autre part. Ils ne savaient pas ce qu’en faire et pensait le vendre pour une jolie somme. Mais le couple avait un rêve : offrir à leur descendance un monde meilleur. Ils rêvaient d’un endroit où leurs enfants pourraient grandir en toute sécurité, loin de la délinquance et de tout danger.

C’est la rencontre et surtout l’amitié entre ces deux couples qui sera l’origine de Heaven Hill, le paradis sur terre.

Le premier piquet fut posé au nord de la ville en 1883, et aujourd’hui, près de 140 ans plus tard, la petite ville a bien grandi. Entourée de barrières, un portail de contrôle à l'entrée nord de la ville, elle compte aujourd’hui quatre quartiers majeurs.

Au nord de la ville, à la limite du bayou, la zone la plus sauvage de la ville, petit bout de forêt, grand espace, c’est là-bas qu’on trouve le cimetière, le garage automobile, le centre animalier, etc…

Au cœur de Heaven Hill, French Place. Ruelles pavés, boutiques pleines de charmes et le grand parc. C’est entre ces murs que les habitants aiment flâner. Café, pâtisserie, boutiques de bijoux, de vêtements, fleuriste et j’en passe. Le tout autour de la Mairie de la ville et des locaux du journal local.  

A l’est de la ville, le quartier résidentiel de Poeny Docks au bout du golf du Mexique. Quartier assez riche, Maison sur la plage, Appartements et maisons mitoyennes sur les quais, le tout avec une belle vue sur la jetée et ses manèges permanents.

A l’ouest de la ville, le plus grand quartier d’habitation de la ville, Daisy Street. Petite banlieue chic, on y retrouve tout un tas de maisons plus ou moins grosses, parfaitement entretenue. C’est aussi dans ce quartier qu’on retrouve toutes les commodités tel que Heaven High School et Elementary School, la caserne de pompier, les bureaux du Shérif, etc...

Les Baker et les Wilson sont toujours à la tête de la cité paradis. Les Baker sont dans la justice et la médecine quand les Wilson sont à la Mairie et aux médias et si jusque-là, les liens amicaux qui unissaient les deux familles étaient un véritable pilier pour la ville, ceux-ci semblent légèrement tendus ces dernières années.

Saint John Street (nord) › Bayou ;  Outlaw Saloon, le bar/restaurant familiale ; AutoRepair, garage automobile ; PetRescue, centre animalier et vétérinaire ; Cimetière ; entrée de la ville et poste de sécurité

Poeny Docks (sud-est) › Quartier résidentiel ; Plage ; CocoDrink, bar de plage ; Port, La Marina et sa Jetée ; Restaurant français/cajun ; Cabinet médical, HairShop

French Place (centre) › Pâtisserie Perle de sucre ; Hôtel de ville ; Journal local, Heaven Papers ; Paradise Library ; FlowerShop, Fleuriste ; WaterColors, galerie d'art ; Nonna, Restaurant italien  ;  HeavenStop, supermarché de proximité ; NOLA Bank ; Heaven Coffee ; Boxe'Time, salle de boxe ; Célosie, bar (club privée en arrière salle)

Daisy Street (ouest) › Quartier résidentielle ; Bureau du Shérif ; Caserne de pompier ; Hôtel ; école primaire ; Heaven High School ; Kids Park